Petit tour à la réserve écologique de Buenos Aires, ancien polder destiné à une cité administrative qui ne fut jamais construite. Lieu rêvé pour observer la colonisation par les plantes pionnières (ricin, chardons, savonniers, néfliers). Jolis oiseaux (bruants, perruches ondulées ayant retrouvé la liberté) et varans, et finalement un petit tour sur l'ancien port Madero transformé en alignements de lofts et de fast foods chics. Grandes villes qui se réorganisent, se reconstruisent, réassignent les fonctions.
Après avoir retrouvé un peu d'énergie cérébrale juste avant Noël, je suis, à trois jours du retour, à nouveau proche de l'abrutissement. Mon projet ERC reste bloqué car mon anglais n'est pas suffisant à le reprendre de fond en comble. Et les conversations ici m'épuisent et me frustrent du fait de la pauvreté de mon castillan.
Rédigé par : |