Depuis quelque temps il y a à boire et à manger sur mon blog. Je me laisse aller.
J'ai réduit la note d'hier qui ne présentait aucun intérêt.
Paradoxalement, j'ai rarement autant écrit et produit que ces temps-ci. Je suis à un tournant dans ma vie, moment où il me faut choisir entre l'anthropologie habituelle ou une nouvelle science qui intègre les animaux sociaux.
Je multiplie donc les démarches, je m'active, écris, sollicite, et pourtant je ne puis rien laisser filtrer dans Anthropopotame.
Je suis au seuil d'une aventure intellectuelle exaltante mais j'hésite. Je n'ai fait que cela toute ma vie: avancer, changer mes cadres d'analyse, changer mes terrains, changer de partenaires de recherche... Or en faisant cela je vais plus vite que la musique, c'est-à-dire que je ne laisse même pas le temps à mes travaux précédents d'être publiés, à ma réputation de s'établir. Lorsque j'aborde un nouveau sujet, je suis une page vierge pour ceux que je contacte.
Ma monographie sur les Indiens de Bahia, en souffrance depuis trois ans chez l'éditeur, est toujours en attente de parution.
Mes conclusions sur le programme Amazonie sont presqu'achevées; je les enverrai à une revue brésilienne mais je sais qu'il y en aura pour plus d'un an d'évaluation et de navettes. Lorsqu'elles paraîtront, je serai bien loin de là.
Il est grand temps que tu t'offres une S2000. Voila le probleme.
Rédigé par : Le Piou | mercredi 17 mar 2010 à 16:43
C'est sûr qu'une S2000 serait fort utile à la rédaction de mon rapport :)
Rédigé par : anthropopotame | mercredi 17 mar 2010 à 16:58
L'air frais y'a que ca de vrai.
Rédigé par : Le Piou | jeudi 18 mar 2010 à 16:33