Comme c'est étrange.
J'avais rarement éprouvé, comme à présent, le sentiment de mon absence au monde.
Et je comprends mieux à présent le sens de l'expression "crise de la quarantaine", qui n'a rien à voir avec l'âge, mais avec le fait de contempler de loin la côte et le mouvement du port, accoudé au bastingage, tandis que tous les compagnons de voyage hument l'air des ruelles surpeuplées.
Vous commencez a me faire chier tous, les quadras, avec votre crise de la quarantaine.
Gardez-la pour vous-meme, bourrez-vous la gueule en solo, un rail de coke au besoin, mais par pitie, le temps que ca passe, gardez-la pour vous.
Rédigé par : Le Piou | lundi 26 avr 2010 à 17:47
Un conseil : regardez vers l'horizon plutôt que vers votre port d'attache (à moins que ce ne soit ceci la quarantaine : être fatigué de l'horizon au point de se tourner vers le chemin parcouru).
Ou alors : trouvez un moyen de devenir très vite célèbre (vous n'avez de nouvelles Tristes tropiques en tiroir ?), histoire de reprendre confiance en soi.
Rédigé par : Bardamu | lundi 26 avr 2010 à 21:48
Piou, tu exagères, j'y consacre cinq lignes!
Bardamu, le problème est que ce n'est pas le port d'attache, mais le port d'arrivée...
Rédigé par : anthropopotame | lundi 26 avr 2010 à 22:44
Je sais... ;-)
Rédigé par : Le Piou | lundi 26 avr 2010 à 23:37