De retour d'Italie. Pas fâché d'être à la maison, malgré le temps grigio.
Les deux premières nuits, au Parc National des Abruzzes, furent épuisantes car mes rêves me remettaient sans arrêt au travail. Je devais interroger les paysans survivants, comprendre l'évolution des paysages, etc.
Puis un tour au milieu de nulle part retrouver les traces de l'arrière-grand-père de ma petite F., migrant à 14 ans.
Enfin quelque jour de repos total à Positano. Repos, entendons-nous: si par repos on entend vivre en plaine, alors ce séjour fut épuisant. Volées d'escalier au retour de la plage, au retour de dîner, mollets d'acier certainement.
Mais vivre et penser en touriste est sans doute l'épreuve la plus débilitante et humiliante qui soit. J'en reparlerai.
Bonnes vacances à mes lecteurs en vacances!
N'est-ce pas sur la côte amaflitaine ?
Rédigé par : kela | samedi 23 juil 2011 à 16:55
Voui!
Rédigé par : anthropopotame | samedi 23 juil 2011 à 20:12