"Les animaux sont méchants" - os bichos são malignos - me disait un Indien.
Et le mot animal contient le mot mal. Ceci suffit à expliquer les grands massacres de chats, du XVIe au XIXe siècles, et aujourd'hui, en Egypte, l'extermination des porcs.
J'ai peur parfois qu'une espèce aussi stupide que la nôtre prenne un jour les humains en grippe, et nous traite comme cela.
Et je demande aux autorités égyptiennes : qui sont les prochains sur la liste ? A quoi donc vous prépare cet exercice ?
"J'ai peur parfois qu'une espèce aussi stupide que la nôtre prenne un jour les humains en grippe, et nous traite comme cela"
Ca a deja ete fait...
Rédigé par : Le Piou | lundi 18 mai 2009 à 21:44
Ben, à propos d'espèce stupide qui prend la nôtre en grippe, prenez les virus. Justement.
Toute contamination d'un individu par un virus tend vers son extermination (celle de l'individu, pas du virus). C'est à dire, vers la suppression du support dont il (le virus) se sert pour être en vie.
On se demande même s'ils sont vivants (les virus), c'est dire si on leur prête des intentions "stupides", mais là, je suspecte de l'anthropomorphisme.
De la part d'un anthropologue, ça me ferait aussi mal de me faire enculer si j'étais homo.
Sachant, en plus, qu'un virus peut contaminer d'autres virus.
'Sont même pas solidaires, ces sales bêtes.
PS: anthropo, depuis que la taupe nous lit, je mets des parenthèses partout parce que je sais pas faire la VOST pour les cons.
Rédigé par : tschok | mardi 19 mai 2009 à 17:13
Tschok: prenez conscience que tout le monde n'a pas votre intelligence ni votre vivacité d'esprit. Je ne parviens pas à comprendre la phrase "ça me ferait aussi mal de me faire enculer si j'étais homo". Certains virus trouvent un avantage à préserver leur hôte, d'autre à le tuer non sans, au préalable, avoir disséminé autant de clones que possible. Ceux qui le tuent sont généralement des virus récent, n'ayant su doser leur pouvoir pathogène, et n'ayant pas compris encore quel était leur "intérêt". Je vous laisse méditer ces paroles prononcées par le Dalai Lama.
Rédigé par : Anthropopotame | mardi 19 mai 2009 à 23:47
Le virus ne ferait pas parti du règne vivant selon un article récent, et ne serait donc pas une espèce, ne chercherait donc pas à survivre, à se reproduire, à prospérer comme toute autre espèce
Ten reasons to exclude viruses from the tree of life
http://www.nature.com/nrmicro/journal/v7/n4/abs/nrmicro2108.html
Mais lorsqu'on voit comment certaines espèces se comportent, c'est à se demander si il ne vaut mieux pas être un virus...
Rédigé par : bergere | mardi 02 juin 2009 à 03:06