Arrivé à Rio tout à l'heure, après un voyage épuisant (plein d'avions successifs avec des départs à 5 ou 6 heures et des connexions interminables) et une mission qui cette fois fut plutôt dure. Couvert de piqûres d'insectes, peu dormi, des journées infernales à suer et d'autres à ne rien faire, finalement peu de travail productif. Nous avons longuement discuté avec François-Michel des problèmes de logistique que nous avons rencontrés, sans parvenir à discerner entièrement la part de mauvaise volonté de nos partenaires brésiliens.
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