Voici un petit exercice destiné à ceux qui s'intéressent au rapport entre langage et réalité.
Il s'agit de décrypter le sens véhiculé par la voix, d'une part, et par les mots d'autre part, dans cette magnifique chanson de Marie Laforêt, qui me faisait vibrer étant petit:
On se rendra aisément compte que le langage n'est ici qu'un simple support, et que si les paroles évoquent une chambre repeinte ou une entrée à l'école, les sentiments communiqués à l'auditeur ne relèvent pas de ce domaine du quotidien.
PS: je m'élève contre le procès qui est fait à Claude Allègre!! Voir ici (accusation de manquer à l'éthique) et ici (on voudrait le pousser dans ses derniers retranchements). Soyons clairs: c'est un mauvais procès. On voudrait faire reposer toute l'argumentation du premier de nos climato-sceptiques sur une courbe falsifiée! Mais il y a bien d'autres arguments à prendre en considération dans le livre. Ce n'est pas comme l'affirmation gratuite du rapport du GIEC concernant les glaciers de l'Himalaya ; ça, oui, c'est vraiment grave!
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